• Automne

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  • qui s'éternise...

    un tableau en cours et d'autres à terminer,

    je reviendrai bientôt

    une pause...

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  • j'attends que le soleil revienne !

    en pause estivale...

     

    en pause estivale...             en pause estivale...

     

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  • Troisième après-midi ...moment de découragement...

    alors, juste pour le plaisir,

    peinture de la prairie au doigt ^^smile

    comme un retour à l'enfance yes

    j'ai du pain sur...la toile !

    C'est reparti pour 3 après-midi

     

    C'est reparti pour 3 après-midi    C'est reparti pour 3 après-midi

     

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  • Si j’étais…je serais… 

    atelier du 20 juin 2023

    1/

    Et bien moi, je serais Marguerite Lechien , j’habiterais une ferme . A cause de mes allergies , en parlant, je ferais souvent « hum, hum… »

    Si j’étais percussionniste, je serais Alexandra Batteure , mon tic serait de dire souvent « attends chef ! »

    2/ Ecrire la dernière page du journal intime du personnage 1 , une lettre de rupture ou la fin de quelque chose

    10 à 15 lignes maximum

     

    Chère Alexandra,

    Voilà, c’est difficile, c’est dur mais je m’y mets.

    Il n’est plus possible que nous vivions ensemble, toi et moi.

    Mon cœur se serre à l’idée de te demander de partir, mais la cohabitation est devenue intenable.

    Tu sais qu’il est important pour moi que mes animaux baignent dans un océan de douceur, de calme, de plénitude…ce qui est le cas la plupart du temps, jusqu’à ce que tu te mettes à jouer de la batterie.

    Je leur joue une jolie valse à l’accordéon ou leur fait écouter un air de Vivaldi et tout d’un coup tu nous assènes un roulement de tambour !

    Tu nous infliges, Alexandra, des moments de stress incroyables !

    Alors, voilà, ce n’est plus possible.

    Où tu trouves une solution pour aller jouer ailleurs ou tu t’en vas.

    Voilà !

    Marguerite

    2/Il n’était pas prévu que je mêle les deux personnages ,  aussi , Ziska me propose d’en inventer un troisième, le voilà : Si j’étais maçon, je serais Anatole Demets et je construirais ma propre maison

    Il s’agit maintenant de raconter ce qui a mené à la rupture  

    Le narrateur est Anatole.

    20 minutes après réception des différentes consignes. 

    Incompréhensible ! Pourquoi en arriver là, à cette lettre ?

    Je vous explique.

    Marguerite et Alexandra filaient le parfait amour dans leur magnifique petite ferme (celle que je restaure actuellement).

    Un joli paradis entouré de champs, de prés fleuris et de forêts.

    Un endroit magique où elles vivaient de musique en compagnie de leurs fidèles compagnons : veaux, vaches, cochons, poules, chèvres , chiens et chats.

    Elles avaient trouvé un équilibre qui leur permettait à chacune de profiter de leurs passions…animales et musicales.

    Jusqu’au jour…

    Ce jour fatidique ou Marguerite commença à perdre l’usage de ses mains. On lui découvrit une maladie invalidante pour laquelle il n’y avait à priori aucune remède.

    Alexandra se battit comme une lionne afin de trouver un médecin capable de soigner et de guérir son amoureuse.

    Or celle-ci, aigrie par la douleur, voulut trouver un coupable, un bouc émissaire responsable de sa maladie.

    L’équilibre était rompu, j’en veux pour preuve cette lettre écrite par Marguerite et que j’ai découverte lorsque je faisais les travaux dans leur maison.

    Chère Alexandra,

    Voilà, c’est difficile, c’est dur mais je m’y mets.

    Il n’est plus possible que nous vivions ensemble, toi et moi.

    Mon cœur se serre à l’idée de te demander de partir, mais la cohabitation est devenue intenable.

    Tu sais qu’il est important pour moi que mes animaux baignent dans un océan de douceur, de calme, de plénitude…ce qui est le cas la plupart du temps, jusqu’à ce que tu te mettes à jouer de la batterie.

    Je leur joue une jolie valse à l’accordéon ou leur fait écouter un air de Vivaldi et tout d’un coup tu nous assènes un roulement de tambour !

    Tu nous infliges, Alexandra, des moments de stress incroyables !

    Alors, voilà, ce n’est plus possible.

    Où tu trouves une solution pour aller jouer ailleurs ou tu t’en vas.

    Voilà !

    Marguerite

     

    Mais voilà, à force de creuser, de chercher, de rencontrer des gens, nous finîmes par nous croiser, Alexandra et moi et je pus lui parler de ma maladie, la même que celle de Marguerite. Je pus l’aider à trouver des solutions pour ramener Marguerite vers elle-même.

    J’entrepris de faire des transformations dans leur petit nid afin de leur faciliter lka vie , à chacune.

    J’aménageai et isolai la grange afin qu’Alexandra puiss y jouer comme elle le souhaitait.

    Ces aménagements permirent à Marguerite de retrouver un peu de douceur et de l’énergie pour affronter ses problèmes sans les reporter sur Alexandra.

    Elles vivent heureuses actuellement, ce n’est pas facile mais elles savent qu’elles peuvent compter l’une sur l’autre.

    Cette lettre n’est heureusement jamais arrivée à destination, en tout pas chez le bon destinataire.

    Tout est bien qui finit bien !

     

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  • Pas d'atelier de peinture pendant deux semaines

    ça fait bizarre !

    Petite pause ...

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  •  

    atelier du 27 juin 2023

    1/

    Quelques exercices, des jeux (dont nous retenons 3 mots) et une chanson 

    qui nous emmènent à un premier petit texte…

    Mes 3 mots : sirop, osier, pré

    Ma chanson : Il nous faut regarder – Brel

    Le texte : un souvenir imaginaire ou réel attribué à une adolescente / 10 minutes.

     

     

    Linda s’assit sur le banc, encore tremblante d’effroi.

    Le conducteur avait sciemment dévié sa voiture afin de la renverser.

    Elle avait heureusement gardé de bons réflexes et le pire avait été évité !

    Qui en voulait à ce point à sa vie ?
    Alors qu’elle était là, broyant du noir, vide de toutes sensations hormis celles engendrées par la peur, une main se posa sur son épaule et elle respira le doux parfum de la personne qui l’enlaçait : sa maman.

    Elle seule parvenait à lui faire oublier pendant quelques instants l’incessant harcèlement qu’elle subissait depuis 3 mois.

    Seule sa maman parvenait à lui faire voir et écouter ce qu’il y a de beau dans la vie…l’oiseau au fond des bois, le coucher du soleil….

     

    2/ Après l’observation d’une jolie photo d’un tableau de Joy ( moi j’y vois de la joie et de la légéreté)

    Nous sommes invités à écrire un texte sur le thème du harcèlement ( je ne savais pas qu’il en serait ainsi lorsque j’ai écrit le premier petit texte).

    Ziska nous donne les différentes consignes et nous avons 20 minutes pour écrire.

     

     

    Linda s’assit sur le banc, encore tremblante d’effroi.

    Le conducteur avait sciemment dévié sa voiture afin de la renverser.

    Elle avait heureusement gardé de bons réflexes et le pire avait été évité !

    Qui en voulait à ce point à sa vie ?
    Alors qu’elle était là, broyant du noir, vide de toutes sensations hormis celles engendrées par la peur, une main se posa sur son épaule et elle respira le doux parfum de la personne qui l’enlaçait : sa maman.

    Elle seule parvenait à lui faire oublier pendant quelques instants l’incessant harcèlement qu’elle subissait depuis 3 mois.

    Tout avait commencé après qu’elle ait posté une petite vidéo sur sa page Mybook . Elle avait participé au concert de l’école et chanté « J’aime la vie » .

    Linda était tellement heureuse d’avoir réussi une belle prestation. Elle avait 16 ans et la vie était belle.

    Ce fut, hélas, le déclencheur d’un déferlement de messages haineux à son égard.

    S’ensuivirent des appels anonymes via la boîte associée à son compte jusqu’au jour ou des jeunes de sa classe la suivirent jusqu’à sa maison en lui criant des insultes et obscénités diverses.

    Un jour, en arrivant en classe, elle se retrouva seule à son bureau, sa meilleure amie ayant changé de place.

    Et ce fut la longue descente aux enfers malgré tout l’amour de ses parents et de sa sœur Edith.

    Elle qui se réjouissait d’entendre chaque soir le merle lui souhaiter bonne nuit, elle devint sourde aux chants des oiseaux et aux bruits de la forêt.

    Linda gardait les tentures de sa chambre fermées et se privait ainsi de rêver au lever du soleil.

    Même le délicieux sirop de Mamy lui donnait des haut-le-cœur !

    Linda perdu le goût de tout …elle prit le goût à rien.

    Après ce douloureux épisode de la voiture, sa maman, après l’avoir prise dans les bras, la conduisit dans le pré derrière leur maison.

    Elles se couchèrent toutes deux dans l’herbe …

    Dans le silence….

    Elle n’entendit pas Edith approcher puis s’asseoir près d’elle.

    Sa soeur avait pris sa guitare et se mit à chanter …

    « Derrière la saleté…il nous faut regarder ce qu’il y a de beau… »

    Il nous faut …de l’ESPOIR !

    Ce fut difficile de terminer, c’est la première fois que j’ai l’impression d’avoir

    encore plein de choses à écrire et de ne pas trouver le bon chemin pour terminer

    Rien ne m’empêche de retravailler le texte…plus tard…peut-être 

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  • Il était un petit homme

    tirelire tirelère

    Il était un petit homme

    qui n’avait pas de maison

     

    Il alla chercher des pommes

    tirelire tirelère

    Il alla chercher des pommes

    là, au fin fond du vallon

     

    Rencontra un avocat

    tirelire tirelère

    Rencontra un avocat

    et lui dit viens avec moi

     

    L’avocat lui dit : bonhomme

    tirelire tirelère

    L’avocat lui dit : bonhomme,

    attends, je prends mon trombone

     

    Les v’là partis en avant

    tirelire tirelère

    les v’là partis en avant,

    l’un jouant…l’autr’chantant !

    Brigitte

    atelier d'écriture avec Izou- 2015

     

    Tirelire tirelère

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