• je retrouve ce matin un texte écrit en janvier 2021
     
     
    Petit délire du jour.....
    Je suis le mangeur d’imprimante
    Le robot qu’on croise et qui vous hante
    Je vis dans le noir sous la terre
    Et  travaille dans une chaleur accablante
    Je suis le mangeur d’imprimante
    Le robot qui arpente les artères
    Avale vos machines agonisantes
    Mon compagnon s’appelle Lucifer
    J’ai reçu une nouvelle affolante
    Un virus s’est introduit dans notre enfer
    Peut-être faudrait-il que je chante
    Pour préserver ma carrière
    (Beaucoup d’habitants remarquent aussi la
    lenteur actuelle….)
    Je suis le mangeur d’imprimante
    C’est fini pour moi les bonnes affaires
    Les nouvelles sont consternantes
    Je vais quitter mon univers
    J’étais le mangeur d’imprimantes
    Un robot d’une énergie déclinante
    Je reviens vers vous à la lumière
    Pour vivre loin de mon cimetière
  • Si j’étais…je serais… 

    atelier du 20 juin 2023

    1/

    Et bien moi, je serais Marguerite Lechien , j’habiterais une ferme . A cause de mes allergies , en parlant, je ferais souvent « hum, hum… »

    Si j’étais percussionniste, je serais Alexandra Batteure , mon tic serait de dire souvent « attends chef ! »

    2/ Ecrire la dernière page du journal intime du personnage 1 , une lettre de rupture ou la fin de quelque chose

    10 à 15 lignes maximum

     

    Chère Alexandra,

    Voilà, c’est difficile, c’est dur mais je m’y mets.

    Il n’est plus possible que nous vivions ensemble, toi et moi.

    Mon cœur se serre à l’idée de te demander de partir, mais la cohabitation est devenue intenable.

    Tu sais qu’il est important pour moi que mes animaux baignent dans un océan de douceur, de calme, de plénitude…ce qui est le cas la plupart du temps, jusqu’à ce que tu te mettes à jouer de la batterie.

    Je leur joue une jolie valse à l’accordéon ou leur fait écouter un air de Vivaldi et tout d’un coup tu nous assènes un roulement de tambour !

    Tu nous infliges, Alexandra, des moments de stress incroyables !

    Alors, voilà, ce n’est plus possible.

    Où tu trouves une solution pour aller jouer ailleurs ou tu t’en vas.

    Voilà !

    Marguerite

    2/Il n’était pas prévu que je mêle les deux personnages ,  aussi , Ziska me propose d’en inventer un troisième, le voilà : Si j’étais maçon, je serais Anatole Demets et je construirais ma propre maison

    Il s’agit maintenant de raconter ce qui a mené à la rupture  

    Le narrateur est Anatole.

    20 minutes après réception des différentes consignes. 

    Incompréhensible ! Pourquoi en arriver là, à cette lettre ?

    Je vous explique.

    Marguerite et Alexandra filaient le parfait amour dans leur magnifique petite ferme (celle que je restaure actuellement).

    Un joli paradis entouré de champs, de prés fleuris et de forêts.

    Un endroit magique où elles vivaient de musique en compagnie de leurs fidèles compagnons : veaux, vaches, cochons, poules, chèvres , chiens et chats.

    Elles avaient trouvé un équilibre qui leur permettait à chacune de profiter de leurs passions…animales et musicales.

    Jusqu’au jour…

    Ce jour fatidique ou Marguerite commença à perdre l’usage de ses mains. On lui découvrit une maladie invalidante pour laquelle il n’y avait à priori aucune remède.

    Alexandra se battit comme une lionne afin de trouver un médecin capable de soigner et de guérir son amoureuse.

    Or celle-ci, aigrie par la douleur, voulut trouver un coupable, un bouc émissaire responsable de sa maladie.

    L’équilibre était rompu, j’en veux pour preuve cette lettre écrite par Marguerite et que j’ai découverte lorsque je faisais les travaux dans leur maison.

    Chère Alexandra,

    Voilà, c’est difficile, c’est dur mais je m’y mets.

    Il n’est plus possible que nous vivions ensemble, toi et moi.

    Mon cœur se serre à l’idée de te demander de partir, mais la cohabitation est devenue intenable.

    Tu sais qu’il est important pour moi que mes animaux baignent dans un océan de douceur, de calme, de plénitude…ce qui est le cas la plupart du temps, jusqu’à ce que tu te mettes à jouer de la batterie.

    Je leur joue une jolie valse à l’accordéon ou leur fait écouter un air de Vivaldi et tout d’un coup tu nous assènes un roulement de tambour !

    Tu nous infliges, Alexandra, des moments de stress incroyables !

    Alors, voilà, ce n’est plus possible.

    Où tu trouves une solution pour aller jouer ailleurs ou tu t’en vas.

    Voilà !

    Marguerite

     

    Mais voilà, à force de creuser, de chercher, de rencontrer des gens, nous finîmes par nous croiser, Alexandra et moi et je pus lui parler de ma maladie, la même que celle de Marguerite. Je pus l’aider à trouver des solutions pour ramener Marguerite vers elle-même.

    J’entrepris de faire des transformations dans leur petit nid afin de leur faciliter lka vie , à chacune.

    J’aménageai et isolai la grange afin qu’Alexandra puiss y jouer comme elle le souhaitait.

    Ces aménagements permirent à Marguerite de retrouver un peu de douceur et de l’énergie pour affronter ses problèmes sans les reporter sur Alexandra.

    Elles vivent heureuses actuellement, ce n’est pas facile mais elles savent qu’elles peuvent compter l’une sur l’autre.

    Cette lettre n’est heureusement jamais arrivée à destination, en tout pas chez le bon destinataire.

    Tout est bien qui finit bien !

     

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  •  

    atelier du 27 juin 2023

    1/

    Quelques exercices, des jeux (dont nous retenons 3 mots) et une chanson 

    qui nous emmènent à un premier petit texte…

    Mes 3 mots : sirop, osier, pré

    Ma chanson : Il nous faut regarder – Brel

    Le texte : un souvenir imaginaire ou réel attribué à une adolescente / 10 minutes.

     

     

    Linda s’assit sur le banc, encore tremblante d’effroi.

    Le conducteur avait sciemment dévié sa voiture afin de la renverser.

    Elle avait heureusement gardé de bons réflexes et le pire avait été évité !

    Qui en voulait à ce point à sa vie ?
    Alors qu’elle était là, broyant du noir, vide de toutes sensations hormis celles engendrées par la peur, une main se posa sur son épaule et elle respira le doux parfum de la personne qui l’enlaçait : sa maman.

    Elle seule parvenait à lui faire oublier pendant quelques instants l’incessant harcèlement qu’elle subissait depuis 3 mois.

    Seule sa maman parvenait à lui faire voir et écouter ce qu’il y a de beau dans la vie…l’oiseau au fond des bois, le coucher du soleil….

     

    2/ Après l’observation d’une jolie photo d’un tableau de Joy ( moi j’y vois de la joie et de la légéreté)

    Nous sommes invités à écrire un texte sur le thème du harcèlement ( je ne savais pas qu’il en serait ainsi lorsque j’ai écrit le premier petit texte).

    Ziska nous donne les différentes consignes et nous avons 20 minutes pour écrire.

     

     

    Linda s’assit sur le banc, encore tremblante d’effroi.

    Le conducteur avait sciemment dévié sa voiture afin de la renverser.

    Elle avait heureusement gardé de bons réflexes et le pire avait été évité !

    Qui en voulait à ce point à sa vie ?
    Alors qu’elle était là, broyant du noir, vide de toutes sensations hormis celles engendrées par la peur, une main se posa sur son épaule et elle respira le doux parfum de la personne qui l’enlaçait : sa maman.

    Elle seule parvenait à lui faire oublier pendant quelques instants l’incessant harcèlement qu’elle subissait depuis 3 mois.

    Tout avait commencé après qu’elle ait posté une petite vidéo sur sa page Mybook . Elle avait participé au concert de l’école et chanté « J’aime la vie » .

    Linda était tellement heureuse d’avoir réussi une belle prestation. Elle avait 16 ans et la vie était belle.

    Ce fut, hélas, le déclencheur d’un déferlement de messages haineux à son égard.

    S’ensuivirent des appels anonymes via la boîte associée à son compte jusqu’au jour ou des jeunes de sa classe la suivirent jusqu’à sa maison en lui criant des insultes et obscénités diverses.

    Un jour, en arrivant en classe, elle se retrouva seule à son bureau, sa meilleure amie ayant changé de place.

    Et ce fut la longue descente aux enfers malgré tout l’amour de ses parents et de sa sœur Edith.

    Elle qui se réjouissait d’entendre chaque soir le merle lui souhaiter bonne nuit, elle devint sourde aux chants des oiseaux et aux bruits de la forêt.

    Linda gardait les tentures de sa chambre fermées et se privait ainsi de rêver au lever du soleil.

    Même le délicieux sirop de Mamy lui donnait des haut-le-cœur !

    Linda perdu le goût de tout …elle prit le goût à rien.

    Après ce douloureux épisode de la voiture, sa maman, après l’avoir prise dans les bras, la conduisit dans le pré derrière leur maison.

    Elles se couchèrent toutes deux dans l’herbe …

    Dans le silence….

    Elle n’entendit pas Edith approcher puis s’asseoir près d’elle.

    Sa soeur avait pris sa guitare et se mit à chanter …

    « Derrière la saleté…il nous faut regarder ce qu’il y a de beau… »

    Il nous faut …de l’ESPOIR !

    Ce fut difficile de terminer, c’est la première fois que j’ai l’impression d’avoir

    encore plein de choses à écrire et de ne pas trouver le bon chemin pour terminer

    Rien ne m’empêche de retravailler le texte…plus tard…peut-être 

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  • Les derniers ateliers d'écriture avec Ziska avaient pour thème "Le temps"

    en lien avec "La langue française en fête"

    Voici mon texte écrit lors du dernier atelier.

     

    Il fallait s'inspirer de l'affiche éditée cette année

    Pluke

    utiliser les 10 mots imposés + un mot retenu lors d'un exercice précédent:

    Pluke + Serpentine

     

     

    Il fallait commencer le texte par " La première fois que je vis..." 

    et terminer par "il était temps ! "

    20 minutes d'écriture

    ////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

    La première fois que je vis Pluke et que je fis ainsi sa connaissance, ce fut lors d’un avant-jour de printemps.

    J’étais à des années-lumière de ce que j’allais vivre, tous à fait synchrone avec lui !

    Il terminait, à ce qu’il paraît, son hivernage et se préparait à partir dare-dare pour Houte-Si-Plou afin d’aller danser dans la Serpentine.

    J’étais là, à l’observer, avec une impression de déjà-vu lorsqu’il se présenta :

    « Je m’appelle Parapluke, Pluke pour les intimes ; partout où je vais,je crée le beau temps : mon parapluie et ma danse éloignent les chagrins et les malheurs.

    Je fais du mieux que je peux en sachant que je ne serai jamais plus-que-parfait…c’est la vie !

    Bon, plus question de lambiner, tic-tac le temps passe ! »

    Pluke commença à fredonner une chanson bien rythmée et…je décidai immédiatement de l’accompagner.

    Houte-Si-Plou, quel beau village ! Et pourtant, l’ambiance y était maussade, nous sentions la tristesse partout…

    Alors Pluke se mit à chanter, à danser et à faire des vagues dans la Serpentine…

    A cet instant, je fus remplie d’une énergie magnifique, magique, devrais-je dire,  je le suivis dans les vagues et l’accompagnai dans sa danse.

    Le ciel s’éclaircit, le soleil et la bonne-humeur revinrent dans le village.

    Il était temps !

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  • atelier du 16 Novembre 2022 

    Après quelques exercices , Ziska nous présente Ensor et nous propose ce tableau.

    A nous d'écrire  un texte en 20 minutes, en y incorporant un paragraphe écrit lors d'un exercice ainsi qu'un mot imposé.

    Je commence mon texte avec le fameux paragraphe; mon mot imposé est "écho"

     

     

    Sa barque oscillait dangereusement, dépendante qu'elle était, des courants et du vent.

    Les goélands criaient et s'acharnaient à plonger pour lui voler les poissons pêchés ce matin.

    Le vent s'intensifia et les voiles claquèrent; le mouvement incessant de va-et-vient lui donna des haut-le-coeur et il vomit dans les flots.

    Sacrebleu ! cria-t-il , il est temps de rentrer au port !

     

    Hélas, la marée le poussa sur la plage encombrée d'hurluberlus.

    Mais dans quel monde suis-je tombé?

    Ah! Mais il s'agit probablement du tournage d'un film :" La folie d'Ensor ", j'en ai entendu parler au JT de TL7.. Quoique , étant donné tous les fake news de cette chaîne de télévision, je pourrais aussi penser qu'il s'agit du dernier épisode de XFiles " La plage d'Ostende-le retour ".

    C'est pas tout ça ! Il faut que je ramène ma barque à l'abri sans que ces farfelus ne me piquent ma pêche!

    Ah ben oui, tiens! je suis même filmé !

    Waouah ! J'irais bien porter du poisson à la sirène, quitte à ce qu'on se régale ensemble!

    Ce qu'il me fait rire , l'homme masqué ! Il se prend pour Zorro, mais en blanc; encore un qui s'imagine que l'air de la mer va lui apporter le corona...

    Je lui crie "eh! coco! "et la femme derrière lui me répond en écho "eh ! coco ! ".

    Bon, j'ai autre chose à faire moi ! Je vais traverser tout ça sans bousculer les deux amoureux et en évitant d'être mordu par le chien ou d'être victime d'un tir du canon.

    A Ostende on bat les records de bizarreries.

    Peut-être bien que demain je prendrai le paquebot pour aller visiter des contrées où les gens sont normaux.

     

     

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  • Atelier du 3 mai,

    où il est question de catachrèse…

    comme d’habitude, des jeux nous conduisent à l’écriture du texte

    les consignes :

    -deux personnages, pour moi , les jeux m’ont conduite chez un luthier et un animateur

    -le titre de l’histoire est la catachrèse, « bord de mer » pour moi

    -mettre beaucoup de couleurs dans l’histoire et terminer par « Mon dieu, mais c’est une fille ! »

    -20 minutes

     

    Voici mon histoire très fantaisiste

     

    Bord de mer

    « Bleu bleu le ciel de Provence

    Blanc blanc blanc les goélands

    Le bateau blanc qui danse

    Blond…le soleil de plomb »

     

    La plage, le soleil, la douce brise et cet air dans le crâne !

    Je profite de ma visite au musicien du Mont Ventoux

    pour faire, d’abord, une petite escapade jusqu’à Martigue.

    Bon, vous me direz que ce n’est pas vraiment une petite escapade, car de là, il me faut encore faire un bout de chemin jusqu’à Port de Bouc ;

    Mais l’air de la mer me fait tant de bien !

    Par contre, ça tape ! Je n’y prends pas garde à cet instant mais mon visage est certainement fort rouge…

    Après avoir profité du bon air marin et de la plage, je monte jusqu’au Mont Ventoux.

    Il s’agit de retrouver Alex qui construit des kalimbas.

    Pas facile à trouver ! La voix féminine du gps m’indique une mauvaise route et je vois rouge !

    Finalement j’aperçois la roulotte dans le petit bois et je suis accueillie par l’animateur.

    Ah oui ! Parce qu’Alex, en plus d’être luthier, anime des ateliers dans la région , il va dans les écoles des environs dans sa camionnette rouge délavé (elle est vieille sa fourgonnette).

    Heureuse d’avoir trouvé, je sors de ma voiture et je suis accueillie par un « Mon dieu , mais c’est une fille ! »

     

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  • atelier du 26 avril , cette fois, je choisis la porte bleue !

    Zeugma

    Où il est question de zeugma, de bleu, de "je" , de futur... mais à l'imparfait...et de 20 minutes d'écriture

    Zeugma

     

    La lune bleue venait de se lever, le ciel était clair, il faisait frisquet.

    Pour cette excursion de nuit, j’avais pris mon artefact extra-sensoriel ; j’espérais pouvoir détecter et photographier les occupants du vaisseau.

    Celui-ci était apparu pendant la nuit de dimanche à lundi.

    En forme de croissant de lune, toutes lumières clignotantes , il avait survolé la lagune bleue puis s’était arrêté au-dessus de la falaise.

    Nous étions plusieurs à l’avoir vu et en arrivant à l’endroit sur lequel il s’était arrêté, nous avons découvert un paysage complètement brûlé et entièrement irradié.

    Je l’ai aperçu lors de trois nuits suivantes mais l’OVNI avait seulement survolé la région sans plus s’arrêter.

    Cette nuit, je voulais voir les créatures qui conduisaient l’appareil.

    Après une marche d’une heure et demie environ, mon artefact émit un sifflement.

    En levant les yeux, je  vis la soucoupe qui arrivait droit sur moi…

    Une décharge…et je me trouvai aspiré par une bouche en forme d’entonnoir puis collé,

    comme aimanté, sur une paroi bleue à l’intérieur de la cabine du vaisseau.

    Un être étrange me regardait.

    Sa tête, énorme, avec un front proéminent et deux grands yeux, surplombait un petit tronc translucide avec quatre tentacules.

    Il n’avait pas de jambes et semblait flotter.

    J’avais conscience qu’il me sondait : c’était comme s’il enregistrait toutes les données physiques et mentales contenues dans mon corps.

    Il ne m’a pas manifesté d’hostilité.

    Brusquement je fus rejeté sur la falaise, comme un déchet dont on se débarrasse.

    Tout était fini…

    Je n’avais aucune photo, mon artefact m’avait été confisqué.

    Je me suis sentie vide et stupide !

     

    Et me revoilà, le bleu au cœur…

    Je pense à mes rêves et qu’il fera beau demain.

     

    avez-vous trouvé mon zeugma?

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  • Les ateliers reprennent !

    Quel bonheur!

     ...je choisis la porte rouge...

    Quelle porte choisir?

     

    alors voilà mon texte ...à l'état brut

    je vous épargne les consignes

    mais sachez quand-même qu'il fallait placer des expressions avec du coeur

    smile

    et les millions de dollars

    15/20 minutes d'écriture

    Et le texte commençait par...

    "Là, à deux pas de moi, la porte.... s’ouvre et je découvre une valise"

    Quelle porte choisir?

    Là, à deux pas de moi, la porte rouge s’ouvre et je découvre une valise jaune; la chambre est obscure…

    Je m’approche , j’ai les tempes qui battent, cet objet me fait un effet terrible et j’essaie de réunir toute mon énergie pour me donner du cœur au ventre…

    J’ouvre la valise…

    Le plafonnier qui était éteint se rallume et, toute éberluée, je découvre le trésor : cent millions de dollars !

    J’éclate de rire !

    Et je ne me prive pas, je ris à satiété !

    Bon , je veux malgré tout en avoir le cœur net : sont-ils vrais ces billets ?

    Je les étale sur le parquet, oui, ils existent !

    Quelle responsabilité de recevoir cette somme…

    J’ai la liberté d’en faire ce que je veux et aussitôt, je pense à ma famille, à mes amis et à ce que ce trésor permettra de leur donner de la joie.

    Je me mets à naviguer sur mes rêves éternels…

     

    Le livre que je tenais en main tombe sur le plancher,

    Je sursaute….je m’étais endormie et je reviens à moi

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  • C'était l'objet de ce dernier cycle...avec Ziska la rouge

    Créer des personnages, un univers...

    Ecrire la quatrième de couv...

    Tout ça avec des consignes bien précises que je ne dévoilerai pas ici happy

    Voici le résultat du premier atelier

    2 novembre 2021

    Créer un univers

    Le soleil se lève à peine sur Hoop.

    Tout le monde dort encore , chacun dans sa loge aménagée sous le grand Pharmacien.

    Nous sommes le 2 novembre 2060 et nous fêtons aujourd’hui nos ancêtres, ceux qui ont permis que nous soyons encore vivants !

    Lorsqu’en 2021, les rencontres entre les gouvernants réunis pour le climat se sont soldées par un échec, des citoyens se sont rassemblés pour réfléchir à notre survie sur la Terre.

    Il est apparu évident qu’il leur fallait chercher un lieu où ils pourraient trouver  abris et nourriture.

    Amoureux des baobabs, ils décidèrent de se poser en Afrique du sud-ouest et d’y fonder une colonie , à l’abri de ces merveilleux arbres « pharmaciens ».

     

    Des adeptes vinrent les rejoindre et ensemble, unissant leurs connaissances et leur force, ils construisirent de véritables villes souterraines dans lesquelles ils commencèrent à vivre à la manière des suricates.

     

    Depuis 2021, la Terre s’est progressivement éteinte mais nous avons trouvé des solutions pour nous nourrir, nous reproduire et vivre en parfaite harmonie avec ce qu’il reste de la nature.

    L’entrée de notre ville est bien cachée, seuls nos voisins pacifiques la connaissent .

     

    Dehors, c’est le désert, mais au printemps, après les grandes pluies, de magnifiques fleurs jailliront du sable et nous pourrons sortir avec nos enfants.

    C’est essentiel pour la survie de notre espèce !

    Nous avons pris modèle sur les suricates : des gardiens, mâles et femelles, veillent à la sécurité de nos jeunes pendant cette période de reproduction (je vous en parlerai plus loin) tandis que les autres membres de la cité vont faire les provisions pour le groupe.

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  • 9 novembre 2021

    Bercée par le doux balancement du hamac, bien à l’abri dans ma loge, je me réveille en douceur.

    Ca y est ! C’est le grand jour !

    Aujourd’hui j’ai 20 ans et le désert est en fleurs.

    Je vais pouvoir sortir et réaliser ce à quoi je me prépare depuis quatre ans maintenant.

     

    Un fracas épouvantable me fait bondir hors du hamac ; il est 6h40.

    Avant de prendre ma douche, il me faut un café bien serré.

    Non ! Pas aujourd’hui ! Qu’est-ce qu’elle a cette foutue machine ?

    Il est 7h et je n’aurai pas mon carburant pour démarrer cette journée ?

    Bon, j’ai un caractère optimiste et je me dis que je réglerai ça plus tard.

    Et puis, un café, je suis certaine que Zelda se fera un plaisir de m’en offrir un après ma douche.

    D’ailleurs, il est urgent que j’aille la prendre, cette douche ; il est déjà 7h15, il me reste à peine vingt minutes avant de me rendre dans la grande loge pour y retrouver les compagnes, les autres monoïques.

    Aïe ! ouille ! L’eau est brûlante et me transforme brutalement en une graine toute boursoufflée et horrible…C’est comme si toute la beauté de mes vingt ans s’était brusquement éteinte.

    Que m’ont-ils fait ?

    Quel était le sens de ce vacarme à 6h40 ?

    Et si j’avais le pouvoir de changer tout ça ?

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